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Non à la violence contre les femmes

 

JEFFERY TAYLOR (NBA), SUSPENDU POUR VIOLENCES CONJUGALES!

Après avoir plaidé coupable pour violence conjugale devant la justice, Jeffery Taylor, joueur phare de l'équipe des Charlotte Hornets, a été suspendu par la NBA pour 24 matches.

En septembre 2014, l’arrière des Hornets, Jeffery Taylor, était arrêté à sa sortie de l’hôtel Mariott à East Lansing dans le Michigan, pour violence conjugale. En effet, passablement ivre selon ses dires, le jeune homme de 25 ans aurait violemment poussé sa petite amie dans le couloir de ce même hôtel avant de lui tordre le bras. La police avait alors été appelé sur les lieux dans la nuit du du mercredi 24 au jeudi 25 septembre. Quelques heures plus tard, le joueur était relâché après avoir payé une caution de 5000 dollars.

La NBA a donc été contrainte de prendre des mesures radicales et a suspendu Jeffery Taylor pour 24 matches. Adam Silver, le Commissaire de la NBA a déclaré : "Cette suspension est nécessaire pour protéger les intérêts de la NBA et la confiance du public dans cette institution. La conduite de M. Taylor viole les lois applicables et, à mon avis, n'est pas conforme aux normes de la morale et est préjudiciable et nuisible à la NBA. Bien que la suspension soit nettement plus longue que les suspensions précédentes pour les incidents de violence conjugale par les joueurs de la NBA, il convient, à la lumière de la conduite de M. Taylor, la nécessité de décourager des comportements analogues à l'avenir."

Le joueur de basketball américano-suédois s'est également vu infliger une sanction à la hauteur de son geste par la fédération suédoise de basket qui l'a, quant à elle, suspendu pendant 1 an. "La violence ne fait pas partie de notre sport, que ce soit sur le terrain ou à l'extérieur. En partant de là, le comité directeur a décidé que Jeffery Taylor ne jouera pas en équipe nationale pendant la saison 2014-2015", a d'ailleurs expliqué le président de la fédération, Hans von Uthmann.

                                                                                           Sur « Cosmopolitan Staragora »